Le groupe politique Union et Progrès est constitué d'hommes et de femmes qui, sans scrupule, ont agit , durant plus de 15 ans, de façon ignoble envers ma famille et moi-même.
Entre 2005 et 2020, ce groupe par la voix de son grand chef André LOBSTEIN, a indiqué à la population qu'il était impératif d'urbaniser la dent creuse que représente mon outil de travail, et de par ce fait, l'impossibilité de rester sur place.
Moquerie de la part de Guy Spehner qui, un jour, alors qu'il était encore temps pour moi d'investir dans l'entreprise, m'a indiqué "I have a dream" a la question de mon devenir.
Tout le monde le sait, et la Covid le démontre, qu'une entreprise dont le développement et le fonctionnement normal est bloqué, périclite à un moment ou un autre.
Force est de constater que certains commerçants indiquent devoir mettre la clé sous la porte au bout de seulement 2 mois de confinement. L'Etat leur verse alors jusqu'à 10 000 euros par mois !
Pour ma part, ce confinement d'un autre ordre que le Covid puisque organisé, savamment mis en place par les acteurs politiques et initié par chaque personne constituant le groupe Union et Progrès de par leur analyse des dossiers suivi de vote, dure depuis 15 ans.
Aujourd'hui, le groupe Union et Progrès a décidé d'annuler la ZAC Jean Monnet, chose jusqu'ici non envisageable, et rendre les terrains constructible en agricole pour, comble du summum de la méchanceté, permettre de pérenniser mon entreprise alors qu'elle a été méthodiquement asphyxiée et bloquée afin de tenter de prendre possession à bas prix des terrains la constituant.
Cet objet de reclasser les terrains constructibles en zone agricole n'est donc qu'un tissu de mensonge afin de faire croire à la population ce qui n'est pas.
Je ne trouve pas le mot pour décrire le comportement odieux de l'ensemble des hommes et des femmes acteur de ce dossier, hommes et femmes censés œuvrer pour l'intérêt général dans une équité pour l'ensemble des citoyens composant la population, mais je ne les oublierai jamais et serai leur ombre dans leur moindre fait et geste.
L'intérêt général aurait été de réinstaller l'entreprise en situation comparable sur un autre site comme je l'avais toujours accepté, en respectant le code de l'expropriation (ce que l'on m'a fait croire pendant très longtemps), et la réalisation d'un quartier uniforme en un seul tenant, et non un mitage urbanistique dont l'activité agricole est impossible, de par les nuisances olfactives et sonore.
Je pense que l'idée est d'utiliser ma pépinière comme un atout de vente pour la promotion immobilière, comme cela a été fait pour la vente des lots en son temps au Poteries, mais tout se passera-t-il comme prévu ?
Tous les arbres ne risquent-il pas de mourir de chagrin enfermé dans le béton ?
La bêtise et la méchanceté de l'humain est le fruit de la convoitise et de la jalousie; c'est ce que révèle ce triste dossier.
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