« Contrairement à votre article paru le 13 avril dernier, je n’ai aucunement été « délogé » par les gendarmes, et encore moins dans un état « fébrile » ; il suffit de visionner la vidéo sur fil info dna.fr, ou sur mon blog (https://eckbolsheim.typepad.com/) , vidéo tournée quelques minutes à peine après que madame Catherine Piettre m’ait accompagné en toute confiance et sérénité sur le lieu de mon entreprise, pour s’en rendre compte.
Je laisse donc les lecteurs juger de l’état de pseudo fébrilité qui m’a été maladroitement accordé …
Je n’ai absolument pas été « délogé » par la gendarmerie, mais suis sorti de mon plein gré du bureau dans lequel je m’étais enfermé avec ma fille.
En effet, après un dialogue constructif avec Madame l’attachée parlementaire de Martine WONNER, députée du Bas-Rhin, il a été question de la programmation d’une réunion avec les principaux acteurs du dossier de la ZAC Jean Monnet, suite à quoi j’ai indiqué aux gendarmes, et ce dans un calme on ne peut plus olympien, mon intention de sortir avec ma fille, ce que j’ai fait à 10h46 précise.
Concernant l’adjoint Guy Spehner, il est à préciser, sauf à ce qu’il ait acquis des compétences d’invisibilité, que sa version des faits relève d’une entière affabulation, n’étant pas présent au moment de ma venue et de mon installation dans un bureau totalement vide.
Si je peux bien comprendre son énervement et son stress après l’annonce du rejet en pourvoi et l’annulation définitive de l’utilité publique de la ZAC Jean Monnet (il se retrouve avec une nouvelle école comportant 2 salles de classes vides et un budget de 576 000 euros manquant si la ZAC ne se fait pas !), je ne puis permettre l’utilisation de fausses déclarations à la presse.
Lors de la dernière commission d’urbanisme et après ma demande de modification de règlement qui me permettrait à nouveau le développement d’une agriculture en milieu urbain, Guy Spehner m’avait répondu « I have a dream …».
Concernant le terrain proposé, qui ne répond ni au cahier des charges de mon entreprise, ni au souhait du conseil municipal (voir PV du 1 février 2016), il n’est, selon un courrier du 19 décembre 2018 signé par Robert HERRMANN, tout simplement plus disponible.
La pie grièche, « envolée depuis » selon Guy Spehner, pourra donc en toute sérénité et quiétude revenir ... ou rester … »
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